Peut-on octroyer une certaine logique à l’échange des besoins vitaux contre notre propre vie ? Est-ce que c’est une façon de fonctionner dans l’unité entre chaque être ?
C’est très simple: il suffirait que tout le monde se mette d’accord pour ne plus payer ni loyer ni crédit et il n’y aurait plus de sdf.
Le système serait obligé de s’adapter à la prise de conscience humaine et nous serions dans l’élan de se mettre chacun dans l’entraide.
Il n’y aurait donc plus 300 000 SDF mais 0, et il n’y aurait plus 1 million de logements vides non plus.
C’est simple: il suffit que la décision soit collective.
L’Échange des Besoins Vitaux: une Décision Collective pour Amorcer un Renouveau ?
Si demain, tout le monde en France se met d’accord pour ne pas payer les besoins vitaux du logement y compris l’eau, l’électricité, le gaz, il n’y aurait plus de problème.
Et cesser cette folie inhumaine à savoir: payer sa propre vie. Nous pouvons garder le système commercial pour le superflu, car il permet de mettre une limite aussi à la consommation. Mais pour les besoins vitaux: pas d’argent.
» Gagner sa vie » est une expression souvent utilisé et caractéristique du fonctionnement de notre société. En effet, c’est une société qui met le mérite en priorité. Mérite qui est relié au nombre d’années d’études, au productivisme et non à ce qu’on apporte réellement.
En fait, c’est pas un problème d’argent qu’il y a, c’est une problématique de conscience.
À savoir « Quand serions-nous prêts à devenir autonome et indépendant de papa-maman système ? »
N’oublions pas que nous sommes la seule espèce à payer pour vivre sur Terre. Et pourtant, nous sommes capable de la plus grande des solidarités.
Ps: tout en gardant l’espace de vie inviolable, évidemment. Une sorte de « propriété individuelle » que nous pourrions appeler « espace de vie » ou « espace vitale ».
Pps: Tu veux déménager ? Il suffit simplement de créer une plateforme pour ceux qui veulent déménager. Il serait possible d’aller d’un lieu à un autre en troquant leur logement avec quelqu’un d’autre. Et même dans un système d’échange parallèle, par exemple, entre 4 humains de 4 lieux différents.